C’est un soir de pleine lune et tu t’apprêtes à retourner chez toi. Il fait bon et si doux, juste une brise calme caresse ta peau sous ta tenue légère. Tu t’engages dans ce parc et ton odorat s’ouvre aux parfums de cette nature. Lorsque soudain, à proximité d’un boisé, tu t’arrêtes et ton attention est attirée par des bruits qui sont comme des plaintes, de petits gémissements.
Ta curiosité t’amène à t’enhardir en direction de ces sons mystérieux. Sans faire de bruit, tel un chasseur ne voulant éveiller sa proie. Silencieusement, tu débouches à un endroit un peu plus dégagé puis apparaît la silhouette d’un homme…
Dans la clarté de la nuit, il semble dans la trentaine avancée, beau mec et bien fait en plus. Mais ce qui retient davantage ton regard, c’est qu’il est allongé sur un semblant de couverture et son jean est rabaissé aux genoux. Tu distingues le mouvement de sa main au bas de son ventre. Eh oui ! Il se masturbe avec frénésie, ce qui explique sa complainte. Paralysée par la crainte de te faire découvrir mais attirée par l’excitation que suscite ce spectacle, tu apprécies malgré l’atmosphère lourde cette place de 1er choix. Tu ne peux t’empêcher de fixer cet homme qui s’adonne à son plaisir solitaire. Il applique des mouvements continus sur son pénis puis s’arrête pour se caresser la hampe jusqu’à la tête de son gland puis repart en se la serrant vigoureusement. Tu sens ta culotte s’imprégner de mouille, tu ne peux te contrôler devant cette scène gratuite et inattendue. Tu sens ta vulve te démanger, une seule chose te vient à l’esprit : apaiser cette démangeaison en te glissant les doigts sous la petite culotte. Sans faire de bruit, tu inspectes les alentours furtivement. Il n’y a personne ! Tu remontes instinctivement ta jupe puis enlèves ton sous-vêtement pour être plus à l’aise et donner libre cours à tes envies. Alors, t’accroupissant pour mieux le voir se coulisser la verge, tu entrouvres les jambes pour réaliser que tes cuisses baignent déjà dans ta mouille que tu ne peux contenir. Du bout des doigts et langoureusement, au rythme du spectacle, ceux-ci s’agitent pour te caresser la vulve, remonter jusqu’à tes fesses qui, à leur tour, ne demeurent pas insensibles à tes touchés impudiques. Tu reviens vers l’avant pour te titiller les lèvres et t’enfoncer quelques doigts dans ton orifice pour ensuite revenir tourbillonner et taquiner ton clito. Tu y prends ton plaisir qui s’accentue de plus en plus. Tu te masses le minou à pleine main, tu sens l’orgasme approcher, de petits spasmes t’alertent et tu commences à les ressentir au bas de ton ventre.
Tu me regardes de nouveau pour observer que le mouvement que j’imprime sur ma queue s’accélère, t’indiquant que je n’en ai plus pour longtemps avant de m’éclater. C’est à ce moment que tu me vois me lever et dans cette position, à grands coups, j’arrose de plusieurs jets de ma semence le tronc d’un magnifique platane. Pareille scène fait monter le désir en toi. Tu te sens sur le bord, tes doigts s’activent plus vite. Dans un geste d’abandon total, tu refermes les yeux pour emprisonner cette vision et aussi pour mieux ressentir, par toutes les fibres de ton corps, l’orgasme exceptionnel que te procure cet instant.
Lorsque tu reviens à toi d’une extase profonde, tu regardes à nouveau en ma direction comme pour me remercier mais, plus rien, je suis déjà parti ! Il ne reste que les seules traces de ma jouissance, penses-tu. Ta curiosité t’amène à examiner les alentours puis, certaine d’être seule, tu t’approches du lieu où l’incident vient de se dérouler. Tu aperçois sur le tronc une flaque généreuse de foutre qui s’y est plaquée. Il y en a beaucoup et tu penses que je devais avoir les couilles bien pleines. Tu te surprends à t’approcher, si près que tu humes l’odeur de ce parfum d’homme. Huuuuum ! Comme il devait être bon, te plaît-tu à supposer ? Tout à coup, une envie irrésistible s’empare de toi : « Comme il serait délicieux que cette queue vienne te soulager le minou, cette queue qui laisse échapper un jus épais, tu es vraiment en chaleur ! » Soudainement, je pose ma main sur ta bouche et de l’autre je t’empoigne pour t’emprisonner à la hauteur de la poitrine. Par la même occasion, je sens tes pointes dressées. Sans que tu puisses me voir, je m’approche de …
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