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Hair cut et plus

Jeudi 22 septembre. Capitale d’un petit état d’Asie.

Depuis quelques jours, à chaque fois que je passe dans la rue, le coiffeur m’apostrophe.

– Hello, Sir. Do you need some hair cut ?

– … Maybe, maybe…

Le dernier jour avant le retour, je me laisse tenter. Le jeune coiffeur est enchanté. Un tout petit salon de 2m sur 4, ouvert sur la rue, un seul employé, lui. Il a environ 25 ans, très fin, des cheveux mi-longs avec des mèches décolorées, une barbe de trois jours. Un look assez décalé par rapport à la majorité des hommes de son pays. Un tee-shirt très court et un pantalon ultra taille basse avec une large ceinture blanche… Très, très mignon.

Aussitôt les ciseaux virevoltent pendant une bonne vingtaine de minutes. A chaque fois qu’il lève les bras pour couper des mèches, son tee-shirt remonte dévoilant un joli ventre plat ourlé d’une ligne de poils qui file vers le bas. De sa ceinture dépasse un boxer blanc immaculé.

C’est alors que, tout doucement, progressivement je le sens qui s’approche de plus en plus de moi. Bientôt, son bassin en vient à me frôler l’avant-bras posé sur l’accoudoir. très doucement, je sens qu’il accentue la pression de son bas-ventre sur mon bras. Je le laisse faire… Troublé, je le suis, intéressé aussi. Alors, je déplace légèrement mes avants-bras sur l’extérieur des accoudoirs. Il a compris mon signal, il me sourit dans le miroir. Se sentant en confiance, maintenant, c’est en permanence qu’il s’appuie contre mon bras. A droite, à gauche, sur mes mains. Il multiplie les pressions. Son regard ne se décroche plus du mien dans le miroir.

Maintenant, il entreprend de me masser le crâne et la nuque. Il enchaine différents mouvements qui me font le plus grand bien.

– Do you want a body massage, Sir ?

– … Why not…

Il termine rapidement de fignoler la coupe au rasoir. Puis, le voilà qui baisse le rideau de fer de sa petite boutique et qu’il m’entraîne dans la seconde pièce. un grand lit, une table basse, quelques tentures, quelques bougies. Visiblement, c’est là qu’il vit. Il me propose de mettre à l’aise et m’aide à enlever mon short et mon tee-shirt. Me voilà en mini boxer rouge, allongé sur le ventre. Lui même se déshabille pour ne garder que son boxer blanc. Il s’enduit les mains d’huile ce qui me permet de le détailler davantage. Pas très grand, finement musclé, une belle toison assez rase recouvre son torse. Il a le genre assez « bad boy » viril mais tout dans la douceur. Son boxer immaculé tranche avec le sombre de sa peau et dessine particulièrement bien ses formes avantageuses.

Commence alors une longue, très longue séance de massage très très pro. Alternant les mouvements doux, les pressions, les coups du tranchant de la main. Régulièrement, il vient coller son boxer contre mon bras, ma cuisse, ma tête, ma main, maintenant ainsi une certaine tension sexuelle. Une fois contre ma main, je me permets d’envelopper sa bosse du creux de ma main. Instantanément, je sens venir un léger gonflement de son sexe contre ma paume. Maintenant, il remonte lentement le long de mes jambes pour en venir à me masser les fesses. Il glisses ses mains sous le fin tissu et me malaxe copieusement les globes. Puis il glisse ses mains de chaque côté de mes hanches et entreprend de me palper par en dessous… Il me retourne alors sur le dos. Évidemment, vu tous ses petits agacements, je ne peux lui dissimuler mon érection qui tend complètement mon boxer rouge, ni la belle auréole qui commence à s’élargir à son sommet… Visiblement, il est dans le même état que moi car je vois sa bite qui tend complètement le tissu de son boxer. Toujours très pro, il continue son massage sur tout le devant de mon corps, évitant soigneusement mon bas-ventre. Son massage me fait un bien fou, je sens une douce relaxation m’envahir, compensée par une excitation sexuelle qui monte de plus en plus. Maintenant, pratiquement en permanence, je lui caresse l’intérieur des cuisses, les fesses, la bosse de son sexe… Je risque deux doigts sous l’élastique de son slip et j’effleure sa bite du bout de mes doigts. Elle est déjà toute humide. Il se cabre pour s’offrir encore mieux à ma caresse tout en continuant ses manipulations.

C’en est maintenant terminé de la partie proprement technique. reste le plaisir. Commence alors une superbe séance de caresses dont je me souviendrai longtemps. Un savant mélange de technique, de savoir faire et de sensualité. Dessus, dessous le tissu. Avec ou sans huile. Caresses ou fortes pressions. J’essaie de lui rendre la pareille, à l’unisson. En copiant sa technique. depuis un moment déjà, vu la chaleur ambiante et les efforts qu’il a déployé, il a le corps entièrement recouvert de sueur. Dans la douce lumière des bougies, cela le rend encore plus désirable.

Le voilà qui me fait glisser le boxer le long de mes jambes, le renifle, s’enivre de son odeur. Il me pose les mains sur son boxer et me demande de le lui enlever. Je lui fais glisser très très lentement, dégageant ainsi une superbe bite. Je lui essuie la sueur qui coule sur son front et sur ses joues avec mon boxer. Il commence à me malaxer très très délicatement la bite du bout de ses doigts. Je lui titille le gland qu’il a tout humide. Il commence à me décalotter lentement tout en me caressant sous les couilles. Je m’arcboute. Il m’effleure la bite du bout de ses lèvres. Sa bite à lui est incroyablement longue et fine et dépasse largement son nombril. J’évalue sa longueur à environ 22 ou 23 centimètres ! Superbe engin ! La mienne n’est pas aussi longue mais… Peut-être plus épaisse. le voilà qui alterne une légère masturbation avec des pressions très fortes de ses deux mains sur ma tige et des petits coups de langue sur mon gland qui dégouline de mouille. Je le masturbe très lentement aussi du bout de mes doigts ou de toute ma main. Il vient se mettre à califourchon sur moi, à hauteur de mes genoux. Ainsi placé, il peut alterner les caresses manuelles et buccales sur ma bite. Je ne lâche plus un seul instant son sexe turgescent. Il a entrepris de me sucer le gland. Je sens parfaitement ses lèvres glisser sur la peau de mon gland, sa salive m’inonder et ses petits coups de langue sur le frein de mon prépuce… Délicieux ! Parfois, il risque un très léger coup de dents, plus bas sur ma tige. Il enfonce de plus en plus ma bite dans sa bouche, tout en me malaxant les fesses, la raie, la rondelle de son majeur. Trop bon ! Parfois, il accélère le rythme pour mieux le ralentir aussitôt. Il veut faire durer au maximum. J’ai vraiment envie de lui rendre la pareille. Alors j’empoigne délicatement sa tête et l’attire vers mon visage. Je plonge mon regard dans le sien et l’embrasse à pleine bouche. On échange un long baiser fougueux. Puis, je l’empoigne et l’allonge à ma place et je prends la sienne. Du bout de ma langue je quitte ses lèvres, caresse sa poitrine, titille son nombril, suit sa ligne de poils jusqu’à sa toison qu’il a taillée de manière très rase et très artistique, ce qui fait ressortir d’autant plus sa longue queue. Je la lui empoigne de mes deux mains et il me reste encore largement de quoi promener ma langue sur tout le haut, sur son gland. je lui aspire légèrement puis de plus en plus fort. Je l’entends haleter, il m’empoigne la tête à pleines mains et me la maintient fortement pressée. Il a l’air d’adorer. J’essaie de descendre le plus possible le long de sa tige en sachant bien que, jamais je ne pourrais l’engouffrer totalement. Ses fesses sont incroyablement durcies dans mes mains. Je le sens tendu et vibrant de plaisir. J’accélère mon va et vient buccal sans vouloir aller jusqu’à la jouissance. Il s’arcboute de plus en plus, totalement offert à ma caresse.

Tous ces préliminaires nous ont évidemment bien échauffés tous les deux. Au bout d’un moment, il empoigne ma tête, la rapproche de la sienne et me murmure à l’oreille :

– You want to fuck me ?
– Yes, but, you before !
– Sûre ?
– Sûre !!

Il reprend alors l’initiative. Il me demande de lui enfiler un préservatif, ce que j’essaie de faire le plus langoureusement possible. Vu la taille de sa bite, la capote, même déroulée complètement, ne recouvre pas complètement sa queue. Puis il le lubrifie copieusement et m’installe sur le ventre, légèrement arcbouté, les jambes légèrement écartées. Il me promène sa bite tout le long de la colonne vertébrale, pour descendre jusqu’à ma raie. Du bout de son gland, il pousse délicatement sur ma rondelle. Puis il se retire et continue avec son majeur à me dilater doucement. Il reprend alors avec son gland. je m’offre, du mieux que je peux, à sa caresse. Maintenant, sans problème il a passé son doigt et me caresse l’entrée. Il a passé son autre main sous mon ventre et me branle lentement. Il reprend sa douce poussée et soudain je sens son gland qui passe doucement. Je lui serre, il apprécie. Maintenant, je suis complètement en levrette, prêt à me faire pénétrer de tout son membre. Malgré ses airs de marlou et son violent désir, ce n’est pas un violent. Lentement, il contrôle sa progression et sa poussée. Il ne veut surtout pas me faire de mal. Alors, il prend son temps, alterne les retraits et les poussées plus prononcées. je sens nettement son membre vibrant se glisser dans mes entrailles et me labourer doucement. J’adore et je sais qu’il ne m’a pas encore pénétré complètement, vu la taille de sa bite. J’en veux encore plus. J’empoigne ses fesses par derrière moi et je le tire vers moi de plus en plus. Je veux qu’il me défonce au maximum. C’est la première fois que j’ai affaire à un tel engin, je veux en profiter au maximum.

– Come on, guy ! Fuck me !

Encore quelques centimètres ! Trop trop bon ! Ça y est ! Je sens sa toison rase contre mes fesses. Il est entièrement en moi. Il ne bouge plus. Il me recouvre complètement de son torse sur mon dos, promène ses doigts sur mon gland, les humecte et vient me les faire sucer. Puis doucement, lentement, tendrement je le sens se mettre à bouger en moi. Millimètre par millimètre, centimètre par centimètre, il recule, avance, fouille doucement mes entrailles. Je sens vibrer son dard au rythme de son coeur. Petit à petit, il en vient à coulisser complètement sur toute la longueur de sa tige. Il accélère doucement la cadence.Je sens parfaitement bien toute sa longue bite chaude qui me caresse l’intérieur du ventre. C’est chaud, c’est doux, c’est vibrant, c’est vivant. J’ai bien compris qu’il voulait aller au bout de sa jouissance, il a encore accéléré. Son corps ruisselle de sueur dans la chaleur moite; le mien aussi d’ailleurs. Encore plus vite. Son bas ventre claque contre mes fesses. Parfois il se retire totalement pour mieux m’empaler d’un seul coup de boutoir.
J’adore quand il se déchaîne ainsi, perdant tout contrôle. Je sens sa bite brûlante qui me fouille jusqu’au tréfonds du ventre. Je lui attrape les couilles et je voudrais qu’il s’engloutisse encore plus en moi. Soudain, je sens ses mains se crisper sur mes flancs. je le sens tout proche de la jouissance. Une formidable ruade et je sens nettement la chaleur de son sperme se répandre dans sa capote. Il a poussé un cri rauque.

Très progressivement, il a ralenti la cadence de ses coups de boutoir qui se font nettement plus apaisés. Je sens nettement sa bite diminuer de volume. Doucement, il se retire de mon ventre. Je récupère le préservatif plein de son sperme encore chaud. Je me remets sur le dos et lui enserre la taille de mes jambes, mes fesses posées sur son sexe gluant qui débande lentement.. Je verse sur le bout de mes doigts un peu de son sperme sorti de la capote, lui fait respirer et je lui enduis le haut de sa lèvre. Il apprécie beaucoup l’odeur. Avec le reste de son sperme j’enduis son torse, son ventre. Il a l’air d’aimer ça de plus en plus. Bien évidemment, il voit bien à l’état de ma bite que je n’ai pas encore joui. Il va donc s’occuper de moi. Je décide de lui donner quelques idées.

Je dénoue mes jambes de sa taille et je les glisse par dessus ses épaules, rapprochant ainsi ma bite et mon cul de sa bouche. Il a compris le message. Du bout de sa langue, il entreprend de me bouffer la rondelle, puis il me lèche et me suce les couilles avec beaucoup de savoir faire et enfin, il me pompe à nouveau la bite. J’adore toutes ses caresses qui me font chavirer de plus en plus. Ses mains recommencent à virevolter sur tout mon corps. je voudrais que cette séance ne finisse jamais tellement c’est bon, mais j’aimerais quand même qu’il me branle à fond. Alors, je redescends au niveau de sa taille, l’enserre à nouveau de mes jambes, je prends ses deux mains, les posent sur ma bite en feu et lui souffle :

– Wank me, please ! Wank me !

Je joins le geste à la parole en prenant ses mains et en commençant à me branler lentement. Tout ceci commence à l’exciter à nouveau et je sens déjà sa bite qui reprend un peu de volume dans ma raie. On devrait toujours faire confiance à un masseur ! Jamais de ma vie, on ne m’a branlé comme ça ! Avec un tel savoir-faire. Alternant les moments forts avec les moments plus lents et plus doux, tout en continuant à faire monter le désir de plus en plus. Pendant tout ce temps, il m’a souri, ses yeux plantés dans les miens, sentant mon plaisir et sa montée. Chapeau ! Après un long moment, n’en pouvant plus de plaisir contenu, je l’ai imploré :

– Please !!!

J’ai empoigné ses mains et je l’ai lancé à fond, avide de jouissance. Là encore, il a su doser la montée pour me faire perdre la tête complètement. Et il a réussi. J’étais ailleurs, complètement chaviré, la tête dodelinant de gauche à droite, les yeux clos, tout mon corps centré sur ma bite en feu entre ses mains. Plus tard, il m’a dit que je hurlais. D’un seul coup, comme une formidable délivrance, j’ai senti une grande chaleur m’envahir tout le corps et j’ai commencé à jouir, à jouir, à jouir comme ça ne m’était jamais arrivé. Cinq, six fois peut-être. J’avais le torse gluant de sperme chaud. Je retombai d’un seul coup, comme débranché. Il vint se coller contre moi et me couvrit de petit baisers.

Longtemps nous sommes restés ainsi collés, repus de plaisir partagé. Pour se nettoyer un peu, nous sommes repassés dans son salon de coiffure et nous nous sommes aspergés l’un l’autre avec sa douchette pour les shampoings. On s’est savonné mutuellement, caressé encore et séché..

– It was great !
– For me also ! See you as you want.
– Tomorrow, I go back.

J’ai vu son regard se voiler légèrement. je l’ai serré dans mes bras un temps infini.

Proposée par enkor e enkor

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