Sous la chaleur accablante de l’été andalou, deux jeunes gens découvrent les plaisirs de l’exhibition depuis leurs chambres respectives…
Pour un stage que je devais réaliser dans le cadre de mes études, j’ai dû me rendre à Cádiz dans le sud de l’Espagne pendant 6 mois. Beaucoup d’amis me vantaient la beauté de cette ville, qui est considérée comme étant la plus vieille d’Europe.
La particularité de cette cité repose sur sa configuration : Elle possède de nombreuses petites rues, de 3 à 4 mètres de large, et des immeubles de 3 ou 4 étages, qui empêchent que le soleil donne directement dans ces ruelles, et permet aux habitants de profiter des zones d’ombre durant les brûlants étés andalous.
J’habitais dans un de ces immeubles, au 3ème étage, et j’ai été très surpris de voir combien je me trouvais proche de mes voisins de l’édifice d’en face. Souvent lorsque je fumais une cigarette sur mon balcon, je pouvais apercevoir directement ce qui se passait dans les appartements. Une vieille femme entrain de cuisiner à droite, un jeune homme installé dans son canapé entrain de regarder le foot à gauche, et juste en face de ma chambre, un peu plus en bas, je pouvais apercevoir par la fenêtre la moitié d’un grand lit noir.
Un jour, à l’heure de la sieste (coutume obligatoire en Andalousie) ne pouvant trouver le sommeil, étouffé par la chaleur qui régnait dans ma chambre, je me décidais de prendre l’air et de fumer une cigarette sur mon balcon. A cette heure de la journée, tous les volets sont abaissés pour empêcher les rayons du soleil d’entrer. Tous sauf un, celui de la chambre du lit noir.
J’ai été légèrement surpris, car c’est la première fois que je voyais quelqu’un dans cet appartement depuis que je suis arrivé. Depuis mon balcon, je pouvais apercevoir de longues jambes fines allongées et croisées sur le lit. Je me décalais un peu plus sur la droite de mon balcon, et je pouvais apercevoir que cette fille portait une culotte de satin blanc.
Je ne voyais qu’une moitié de ce corps, mais mes sens étaient en émoi. A la vue de cette taille si fine, si belle, et le contraste de cette culotte blanche sur cette peau dorée par le soleil, je sentais que mon sexe commençait à se durcir.
Je pensais que cette charmante moitié de personne était entrain de dormir, et bien je me trompais ! J’aperçus une main descendre tout doucement sur ce ventre plat et mate, et passer délicatement sur la culotte en satin. Elle s’arrêta sur son sexe, et commença à se frotter légèrement à travers le tissu. J’imaginais alors le plaisir qu’elle devrait prendre en ayant ce contact entre sa peau et la soie. Cela devait être divin. Je me voyais déjà entrain d’embrasser cette petite culotte et de sentir à travers le tissu l’odeur de son sexe…
Je commençais sérieusement à m’échauffer, mais la vieille dame d’en face qui me regardait d’un air bizarre par sa fenêtre m’obligea à rentrer plus vite que prévu, et de laisser terminer la belle à la peau couleur de miel les caresses de sa sieste crapuleuse.
Je rentrai donc dans ma chambre, l’esprit en feu, et avec une bosse énorme dans le caleçon. Je décidais de m’allonger, et de me masturber, en espérant entendre quelques bruits de jouissance, ou tout du moins à essayer de m’imaginer le reste de ce corps de cette beauté andalouse. Je fermais les yeux et commençais à me toucher, je jouis rapidement en pensant que je me trouvais entre les jambes de cette beauté inconnue, et que je frottais mon sexe contre cette culotte en soie sur laquelle je déposais des giclées de ma semence couleur ivoire.
Je m’endormais rapidement, secoué par un puissant orgasme et la chaleur qui m’accablait toujours autant. Au réveil, mon premier réflexe a été de retourner sur le balcon pour voir si la beauté d’en face était toujours dans son lit. A mon grand bonheur, elle était toujours là, cette fois-ci allongée sur le côté en chien de fusil, elle devait être en train de dormir. Je la voyais de dos, et je pouvais me délecter de la vue de ses jolies fesses, bien rondes dans cette culotte de satin.
Je m’allumais une autre cigarette et profitais encore de ce spectacle : Cette taille de guêpe et ce fessier si galbé, me pousseraient à enjamber mon balcon et à sauter sur sa fenêtre pour la rejoindre et enfin profiter de ce corps qui commençait à me rendre fou.
J’aperçus qu’elle se mit à bouger, elle se retourna sur le dos, releva le buste et s’assit au bord de son lit, encore à moitié endormie. J’en restais bouche bée ! Jamais je n’aurais pu m’imaginer une telle déesse : Une jeune femme d’une vingtaine d’année, avec des cheveux noirs qui lui tombaient jusqu’au milieu de ses seins, lesquels étaient bien ronds, lourds. Elle se frottait le visage avec les mains, se retourna par la fenêtre et vit que je la regardais. Je pensais qu’elle allait se mettre en colère, mais elle me lança juste un sourire, cacha avec un bras ses seins et se leva pour fermer la persienne.
Encore une fois je retournais dans ma chambre, fou de désir, et avec l’image de ce corps et de ce visage souriant. J’ai eu le temps de voir qu’elle avait de grands yeux noirs et une bouche pulpeuse, d’un rouge vif, qu’on croquerait à pleine dents.
Cette dernière image resterait gravée dans mon esprit des jours durant, puisque la persienne restait désespérément fermée. Est-elle partie ? Voulait-elle éviter que je la surprenne de nouveau ? La situation me rendait fou, je n’arrêtais pas de penser à elle. Dès que je rentrais chez moi, j’accourais à la fenêtre pour voir si cette maudite persienne avait été levée. Une semaine entière passa ainsi à espérer revoir ce corps qui me hantait chaque nuit, ce visage qui me revenait tout le temps à l’esprit.
Alors je rentrais du travail par une chaude et étouffante après-midi, j’aperçus depuis la rue que la persienne été relevée. Mon coeur commença à s’emballer, je courus chez moi, montai les escaliers à grandes enjambées pour débouler trempé de sueur dans ma chambre et rempli d’excitation. Je me dirigeais à la fenêtre, et là les yeux ébahis, je la voyais assise entrain de lire, au pied de son lit, une jambe allongée, l’autre pliée contre elle. Elle avait une petite robe d’été blanche, légère et qui faisait ressortir sa peau bronzée.
Je n’osais pas m’avancer sur le balcon, et restais immobile sur le bord de la fenêtre. Je ne voulais pas qu’elle me voit, je profitais de ce moment pour la dévorer du regard. D’un seul coup, comme si elle avait senti ma présence, elle déposa son livre et tourna la tête vers ma direction. Encore une fois, elle arborait un sourire délicieux, qui me laissait pétrifié sur place. Tout en me regardant, elle commença à se caresser les cuisses qu’elle écarta lentement. Mes yeux ne savaient plus où se poser : Absorbé par son regard, je suivais aussi le mouvement de ses mains contre son corps. Je pouvais voir quand elle se caressait et qu’elle remontait délicatement sa robe, qu’elle ne portait pas de culotte. Je sentis mon cœur battre encore plus fort, comme s’il allait exploser.
Elle continua son numéro, en laissait glisser les bretelles de sa robe, et empoignait maintenant ses deux gros seins, qu’elle malaxait doucement. Elle jetait de temps à autre un regard vers moi pour voir si je continuais de l’observer. Comment j’aurais pu ne pas faire autrement face à ce spectacle ? J’avais d’ailleurs moi aussi envie de sortir mon sexe, oppressé dans mon caleçon, et de me caresser debout, devant elle au pied du balcon. Mais j’avais peur que les volets fermés de mes voisins ne s’ouvrent d’un seul coup et me voient entrain de me toucher devant leurs fenêtres !
Pendant ce temps, toujours assise elle pivota sur ses fesses, et je pouvais voir ainsi son corps de face. Elle cachait avec sa robe son sexe, mais elle continuait de palper ses seins délicatement. Elle fermait ses yeux pour mieux sentir ses caresses, et quand elle les ouvrait c’était pour m’adresser un grand sourire aussi voluptueux que le reste de son corps. Elle laissa un de ses seins, et remonta sa robe pour me montrer son sexe, qu’elle commençait à toucher doucement. Elle amena sa main à sa bouche qu’elle humidifia et la glissa de nouveau vers son sexe où elle étalait la bave qu’elle avait déposé aux bouts de ses doigts.
Mon excitation était à son paroxysme, je voulais posséder ce corps que je désirais tant. Je me décidais à braver ma peur, et à sortir mon sexe pour me masturber moi aussi. Appuyé contre le rebord de la fenêtre d’une main, je me caressais lentement avec l’autre.
Quand elle aperçut que je réalisais la même chose qu’elle, elle m’envoya un autre sourire, et je la vis se mordre la lèvre supérieure. Cela lui plaisait de me regarder me masturber. Elle commença pour sa part à accélérer la cadence de ses caresses, et avec le bout de ses doigts massait son clitoris en faisant des petits cercles. Avec son autre main, elle se malaxait les seins, se pinçait les tétons, qu’elle tournait délicatement entre ses doigts. Son désir montait inexorablement : Je la voyais sa langue glisser sur le bord de ses lèvres, elle respirait plus fort, et écartait de plus en plus ses jambes. Dans la folie de son excitation, elle jetait de temps à autre des coups d’oeil sur mon sexe, que je continuais à caresser lentement. Même si je pouvais jouir à n’importe quel moment, je me retenais en pinçant la base de mon sexe pour calmer l’arrivée de mon éjaculation : Je voulais avant tout jouir en même temps qu’elle.
Je l’observais maintenant entrain de se lécher ses gros tétons bruns, et soudain, elle jeta sa tête en arrière, et je vis son corps secoué par des spasmes, les veines de sa nuque ressortaient, sa bouche s’ouvrit mais aucun son ne sortait, elle continuait de masser son clitoris, mais d’une manière plus énergique, jusqu’au moment où éclata l’orgasme qui lui fit lâcher un gémissement qu’elle essaya de retenir tant bien que mal en se mordant les lèvres. Devant ce spectacle inédit, j’attendis qu’elle reprenne ses esprits. Tout en continuant à se caresser le sexe, elle me jeta un regard brûlant de désir, et ses yeux se posèrent sur mon sexe. Je jouis à cet instant en m’appuyant contre le rebord de ma fenêtre, terrassés que j’étais par l’ampleur de mon orgasme.
Je ne la quittais pas des yeux, et je la voyait entrain de rire en se disant certainement qu’elle avait été folle de faire une chose pareille. Tout en remettant sa robe en ordre, ses grands yeux noirs me regardait remplis de désir. Elle se leva, me jeta un dernier sourire, tendre et complice, avant de baisser de nouveau la persienne. Le spectacle était fini pour aujourd’hui, mais bientôt j’allais avoir l’occasion de la rejoindre sur scène.
Proposée par Henry Nin